Conclusion

Disparus de notre région il y a plus de 150 ans, à quelques exceptions près, ours et loups déchaînent aujourd’hui les passions. Entre le rejet absolu, fondé sur la défense du pastoralisme des zones de montagnes, et la négation de tout danger, fondée sur l’équilibre et la préservation de la nature, existe-t-il une position raisonnable et objective ?

A chacun de forger son opinion mais souhaitons qu’une meilleure connaissance du passé, fondée sur les documents et la critique historique, éclaire les réflexions.